Moi et les autres, j'espere dans le passé ...

Oui je l'affirme, la dimension de soi etait subjective a la réalité. Et quand le moi fusionnait avec sa cellule-groupe d'amis, en collectivité je veux dire, il n'en resultait qu'une multitude d'embryons personnels s'associant dans le simple but d'assouvoir leurs propres besoins. L'horyzon, je l'affirme n'était que bariolage. Je ne dis pas que j'étais a part dans ce groupe de dévorateur de le satisfaction de l'égo, mais je ressentais cette dissonance entre la perception de mon moi et le but, la consécration de nos échanges à travers nos relations. Alors comme quelque-uns, je tentais dans la bataille de sublimer les pulsions de mon égo et les désirs refoulés de mon introspection. Je le confirme, cette solution crée de drôle de bonhommes.

Jusqu'au jour où j'ai chuté, et l'objet, qui animait toute la cellule, m'à été interdit pour l'enfer qu'il me génerait avec la drôle de situation ci-dessus. Et c'est seuleument a la suite de cette chute que je peux enfin établir mes propos, affirmer que la perception commune et personnelle était subjective a la réalité. Aujourd'hui, lorsque je retrouve des amis toujours enfermés dans ce cercle, une energie fusionelle se fissure ou se transforme parfois. Ne serait-ce que par mon ancien rôle perdu autour de l'objet "convoité", on ne fait plus appel a moi comme autrefois, mes relations aux autres sont devenues pour la plupart uni-latérales. Enfin j'étais animé, ressourcé parce que je croyais comme une force dans nos relations, croyant que l'on se tendait volontiers la main, hélas ce n'etait presque que pour s'échanger l'objet), que l'on formait un groupe sans équivoque unis tous ensemble.

Aujourd'hui je recherche a nouveau cette richesse a travers les relations mais cette fois sans appétit a travers un quelconque objet, recherchant la vérité et le bien qui sera étendu a tous. En attention avec le présent et je l'éspère avec les êtres.